La CIA a perdu son meilleur élément.

nom: Beauclair prénom(s): Mercy date de naissance et âge: Vingt-cinq novembre 1982, soit 34 ans. lieu de naissance et nationalité: Washington DC. origines: Américaine crime: Torture et meurtre sur la personne d'un sénateur aux moyens d'un poison à usage très lent et douloureux..  durée de la peine: A vie... (Même si, soyons sérieux, aucune prison ne peut la retenir très longtemps) je suis là depuis: 1 ans  assignation (voir ici): Serre Botanique ancien emploi/études: Ancienne agent de la CIA. orientation sexuelle: Lesbienne, jusqu'au bout des oncles. Elle n'a toujours aimé que les femmes et les plus belles d'entre elle. statut matrimonial: Célibataire groupe: Red

Alors qu'elle avait 16 ans, elle a été sauvé d'une agression sexuelle et surtout, d'une tentative d'enlèvement, par un groupuscule extrémiste voulant enlever des femmes pour servir d'esclave dans les pays étrangers. - Elle a été sauvé par une femme travaillant pour la CIA, c'est grâce à elle, qu'elle est entrée à la CIA. - Entre à Langley pour suivre une formation d'agent de la CIA à l'âge de 18 ans - Elle possède de très solide connaissance dans le meurtre et à la torture. - Elle a participé à un grand nombre de mission pour lutter contre les ennemis de l'Amérique - Sa dernière mission était d'enquêter sur un trafic d'être humain en Afrique - Elle a été condamné à la prison à vie pour avoir torturé et tué un Sénateur qui était le dirigeant de la cellule de trafic d'être humain. - Elle a de très nombreuses cicatrices sur le corps, dont certaines sont dues à un passage en prison en Tchéchénie. - Elle était réputée pour être l'agent dont on fait appel quand on ne veut pas qu'une mission échoue - Elle est une femme froide et sans-scrupule, qui n'a pas de coeur selon ses supérieurs. - Elle est tombé amoureuse une seule fois et sa petite amie était dans un camps adverse, on lui a demandé de la tuer pour prouver sa loyauté. - Elle possède une solide formation médicale. - Après une mission d'inflitration dans un cartel colombien, elle est devenue dépendante de la cocaïne, mais a réussis à s'en sortir. - Son patron est le seul homme qu'elle a toujours respecté et adorer comme un père, même après qu'il l'ai fait arrêté. - Avant de partir en prison, elle a fait un pari avec son patron, pour savoir combien de temps, il lui faudrait pour sortir de prison - Il lui reste 6 mois, avant de perdre un repas dans le meilleur restaurant de New-York. - Elle aime beaucoup le violon et regrette de n'avoir jamais su en jouer.


Pseudo sur le net: Héra Prénom: Maxim Age: 23 ans Comment as-tu trouver le forum ? : Sur PRD Fréquence de connexion:Tout les jours Comment trouves-tu le forum?: Je suis vraiment très fan de l'idée et OITNB est une série que j'adore par dessus tout. Inventé ou scénario : Inventé.

Je suis une Américaine pure souche et mon début de vie ressemble à un roman. Mon père était un général dans l’armée américaine et ma mère était infirmière dans le même corps d’armée que mon père. Lorsqu’ils partaient au front, ils me répétaient sans cesse qu’ils combattaient les méchants et que je devais être honoré d’avoir deux parents qui luttent pour les Etats-Unis. Pourtant, à cette époque, je ne voyais pas pourquoi, mon père et ma mère préféraient risquer leur vie pour des inconnues, plutôt que de rester avec moi à la maison.

Un soir, vers minuits, alors que ma gouvernante venait de me mettre au lit, une voiture s’est arrêtée devant la maison et deux hommes en sont sortis.  Je me suis levé de mon lit pour aller leur ouvrir et l’un des deux hommes s’agenouilla devant moi et posa sa main sur mon épaule avant de dire d’une voix douce et triste : « Je suis désolé mon enfant, mais ton papa et ta maman sont morts… ». Je me rappelle que je n’ai pas versé la moindre larme, en apprenant la nouvelle. Les larmes ne ramèneraient pas mes parents à moi, j’étais seule maintenant… Ils étaient morts et je n’avais que douze ans.

Peu de temps après, cela, ma gouvernante a réussis à m’adopter, car nous avons toujours été très proches et qu’elle avait très peur pour moi. Je n’ai jamais compris, pourquoi où comment on pouvait à ce point s’attacher aux gens. Du plus loin, qu’il m’en souvienne, je n’ai jamais éprouvé d’attachement pour personne, je n’aimais pas beaucoup les autres et je tentais de comprendre les raisons qui poussent les gens à éprouver des sentiments les uns pour les autres.

Vers l’âge de seize et en entrant au lycée, j’ai fait la rencontre d’un homme, qui s’appelait Omar Safiq. C’était un étudiant palestinien, qui était tombé amoureux de moi et je le laisser jouer à me servir et à faire toutes mes demandes, sans jamais rien lui offrir d’autre qu’une tape sur l’épaule. Vous pensez que je suis cruelle ? Non, je suis juste lucide.

Une nuit, alors que je rentrais dans mon appartement que j’avais loué pour travailler et continuer mes études, Omar m’a interpellé. Il était armé d’un couteau et me menacer avant de déchirer mes vêtements. J’étais terrorisé, mais je ne lui laissais pas le plaisir de lui montrer mes larmes. Alors que j’allais être violé par cet homme que je croyais être mon ami, mon ange gardien est apparut et m’a sauvé de l’homme. Je me rappelle encore la joie que j’ai eue quand la femme est venue à mon secours, ces grands yeux bleus, son visage de porcelaine. Elle était d’une rare beauté et j’avoue que pour la première fois de ma vie, j’ai eu de l’excitation pour un autre être humain. Est-ce à ce moment-là, que j’ai su que j’étais homosexuelle ? Je le pense.

Après m’avoir déposé chez moi, je ne l’ai plus vu pendant deux ans, jusqu’à ce que je m’inscrive pour une formation à Langley, afin de devenir agent de la CIA. Lors d’un entraînement, je l’ai revu et nous avons beaucoup discuté ensemble. Elle a décidé de me prendre sous aile et de m’apprendre les ficelés du métier. De fil en aiguille et avec beaucoup de persuasion de ma part, j’ai reçu à terminer dans son lit et ce fut l’apothéose, le plaisir le plus absolu et le plus parfait. Depuis ce jour, il ne se passe pas une semaine sans que je ne visite le lit d’une femme rencontré dans un bar où une boite de nuit.

J’ai eu beaucoup de missions au cours de mes quinze ans de service dans la CIA, mais la plus dur a été en Tchétchénie. Je devais infiltrer une base rebelle, mais rien ne se passait comme prévue. J’ai été trahie par un homme inconnu, qui portait le nom de Monsieur. Je suis resté sept mois dans la prison et j’ai connu des tortures inimaginables, mon corps autrefois parfait, recelé un nombre incalculable de cicatrice et de blessure, comme si mon corps avait servi à un patchwork de chair humaine. Elle a décidé de me prendre sous aile et de m’apprendre les ficelés du métier. En un regard, dans une prison crasseuse, je suis tombé amoureuse de la femme qui aurait être ma pire ennemie, un agent russe dont la mission avait été de me liquider. L’un dans l’autre, j’éprouvais pour cette femme, une excitation sans commune mesure. J’étais tombé folle d’elle et cela m’amuser beaucoup. Ensemble, nous avons réussit à nous enfuir de la prison, non sans avoir apporté des petits souvenirs de notre passage. Elle m’a offert l’oreille d’un homme qui m’avait torturer, tandis que moi, je lui avais offert le cœur du médecin qui l’avait utilisé comme éprouvette.

Ce genre de petit message d’amour a continué pendant deux ans, jusqu’à ce que l’on me donne l’ordre de liquider la femme que j’aimais pour prouver ma loyauté. Je lui ai tiré trois balles dans la poitrine, avant de la laisser se vider de son sang. J’avais le cœur brisé et je ne trouvais plus le repos, ma vie s’était éteinte en même temps que ces beaux yeux.

Peu de temps après, on m’a envoyé en Afrique enquêté sur un trafic d’être humain et cela devait être une mission de routine, quand j’ai appris qu’un certain Monsieur organisé le trafic. A force de torture, j’ai fini par découvrir qui était ce Monsieur. Un sénateur américain, l’un de mes patrons. En revenant de ma mission et après avoir éliminé les trafiquants, je suis allée rendre une petite visite au Sénateur. Il a mis plusieurs heures à mourir dans d’atroces souffrances. C’est ce que j’ai raconté à la police qui m’a arrêté, mais il en manque un bout de l’histoire que vous serez les seuls à écouter.

En rentrant d’Afrique, je suis allée voir le directeur de la CIA avec mes preuves et il m’a dit ces mots : « On ne peut rien faire pour s’occuper du Sénateur, il est protégé… C’est ce que j’ai raconté à la police qui m’a arrêté, mais il en manque un bout de l’histoire que vous serez les seuls à écouter. Bien sûr, cet agent serait envoyé dans un prison New-Yorkaise et condamner à la prison à vie. Je suis sûr que non, l’agent se retrouverait enfermé à vie et je serais près à parier un dîner dans le meilleur restaurant de New-York qu’il s’en sortira jamais » Il m’avait regarder, par-dessus ses lunettes en demi-lune et avec un petit sourire, nous nous sommes mis d’accord sur la marche à suivre.